Retour à Sydney, mais cette fois, on habite en plein centre, et on y reste 9 jours, comme ça, on aura bien le temps d’en profiter et de voir plein de choses.
On commence bien sur par le plus beau… Inutile de le garder pour la fin car on le voit tout le temps ou qu’on soit : l’opéra de Sydney … La première fois qu’on le voit en vrai on est d’abord surpris de sa petite taille… Et puis de sa couleur, on dirait toujours qu’il est d’un blanc parfait ce truc mais pas du tout, il est plutôt beige en fait.
Et ce pauvre opéra est, cela va sans dire, assailli de toutes part par des hordes de touristes asiatiques, indiens et européens. Tout le monde a l’appareil à bout de bras et se prend en photo devant le bel ouvrage, à tour de rôle.
Je m’y refuse… Déjà que je suis un pur touriste, si en plus je tombe dans la photo touristique de base, je tombe bien bas. J’essaye juste de faire une photo différente, de faire ressentir un peu l’émotion que j’ai eue en le voyant de mes propres yeux.
Bon, c’est vrai, des fois on a pas le choix: on fait une carte postale.
Juste à côté de l’opéra, le royal botanic garden, sublime et gigantesque jardin urbain, qui nous dispense une bonne leçon de toute la maîtrise du jardin Anglais. Il y a, à chaque instant, une vue sur la ville différente à travers ce filtre végétal ultra maîtrisé.
Royal.
Autre truc marrant: le zoo de Sydney, le « Tonga zoo ». On y va en ferry, car ici à Sydney le bateau est intégré aux transports urbains, du fait de sa géographie particulière.
Le zoo est quelque peu décevant mais la vue sur la ville est sublime.
Et sinon que vous dire… J’adore les girafes. (Moi, les koalas)
Le jour de Noël, il pleut, nous allons faire un peu de shopping, travaillons un peu sur notre site web dans la journée, skypons nos familles pour Noël, puis allons dans un petit restau italien miraculeusement ouvert ce soir la, et enfin balade dans China Town et dégustation de frozen yogourt ( bizarre, un peu acide ) le tout arrosé d’une pluie fine.
Le 26 décembre à lieu le départ de la course de bateaux « sydney to hobart » qui est donné au port de Sydney, notre bouquin nous dit qui faut aller le voir depuis un parc situé juste en face de la baie: bon d’accord … 45 minutes de bus plus tard, absolument aucune trace du moindre rafio à l’horizon, je me demande si ça viendrait pas du fait que l’on s’est pointé là-bas la gueule enfarinée vers 15 h.
Oui bah on a bien absorbé le décalage horaire nous, on fait la grasse mat maintenant.
Nous voilà donc dans ce parc sans grand intérêt mais avec une jolie plage de sable blanc. Tiens, mais voyant qu’il y a des filets sur toute la largeur de la baie, je réalise en voyant le nom de la plage à quoi ils servent: Sharkbay … Même pas baigné, trop froid.
Et puis j’ai pas ma combinaison anti « trou dans la couche d’ozone » et antijellyfish box ( méduse géante mortelle – bon je sais pas si y’en à Sydney mais en tout cas elle est très présente en Australie. )
Marchera jamais ce pays.
Notre dernière sortie touristique australienne sera pour la légendaire plage de Bondi. Ce jour la c’était un peu l’équivalent duweek end du 15 août en terme de pourcentage de la population qui ne travaille pas : en très, très haute saison donc, et bien figurez vous que Bondi est bondée (lol, puis voir photo…)
Ici aussi piscine d’eau de mer sur la plage, que nous nous empressons d’aller tester. Pasmal du tout, car vue magnifique, et pas grand monde.
Pendant ce temps la, sûr la plage, toujours autant de bombes atomiques et de beaux gosses body-buildés
Serré les uns contre les autres.
Finalement, peut être que ça marchera ce pays, parce que bizarrement, on dirait que ça marche déjà.
Ils sont fous ces vautrés.
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